le 8 févr. 2016
Première mission
Voilà, je ré-attaque la série Soda ; ma dernière lecture de la série entière doit dater d'il y a au moins 7 ans... je ne sais pas si je relirai le dernier tome vu que je l'avais lu en librairie et...
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BD franco-belge de Philippe Vandevelde (Tome) et Luc Warnant (1987)
Voilà, je ré-attaque la série Soda ; ma dernière lecture de la série entière doit dater d'il y a au moins 7 ans... je ne sais pas si je relirai le dernier tome vu que je l'avais lu en librairie et que je n'ai pas envie de l'acheter... on verra.
Ce scénario est vraiment du grand n'importe quoi. En gros, Tome enchaîne ses scènes d'action sans se poser trop de question : dès que les personnages s'arrêtent et parlent, le lecteur s'aperçoit que c'est du flan, heureusement, une autre scène surgit, faisant oublier l'inoubliable. En fait, cet album est un bel hommage aux séries B musclées des années 80 : y a des punchlines, de l'action, des situations explosives, beaucoup d'action, des trahisons, des flics pourris, un tueur à gage pas commode, un héros pas banal (même si, au final, ce n'est pas très exploité). Ça passe donc mais uniquement parce que c'est fun de voir tout péter.
Au dessin, c'est Warnant qui s'y colle et avec efficacité dans les grandes lignes. Y a des p'tits détails sympas. Quelques dessins foireux aussi, il faut bien le dire, surtout quand les personnages se tordent un peu (le canon des personnages rend certains mouvements peu gracieux ou qui rend le port d'arme assez moche, surtout quand c'est la jolie poulette qui met un flingue dans sa ceintrue). Les scènes d'action sont correctes : disons que c'est ultra dynamique, du coup, même quand le dessinateur dessine une vignette inutile, ça passe. La gonzesse est plutôt sexy, Soda a une bonne gueule, les méchants aussi. Les lieux sont sympas, on se sent bien à New York, mais c'est dommage de ne pas les avoir mieux exploité narrativement. Il y a des choses bien amenées au niveau du découpage aussi, des petits détails qui préparent une action imminente. Les couleurs de Stuff sont bien aussi, on reconnaît son style, sa palette.
Depuis que j'ai vu "The Choirboys", je me demande si le personnage de Bab's ne serait pas inspiré de Charles Durning tant ils se ressemblent physiquement mais aussi dans l'attitude.
Bref, ce premier tome est assez divertissant malgré un scénario franchement mal branlé et qui ne fonctionne que parce que l'action est bien rythmée.
PS : dites donc, les copains ! Est-ce que Tome n'aurait pas recyclé ce twist concernant le chef dans son tome 13 ? Si je me souviens bien on y apprenait que Pronzini était un ripoux (ce qui est une idée un peu idiote par rapport au reste de la série) ; serait-ce un pur hasard ou bien pour marquer le coup d'un nouveau départ ? Il faudra quand même que je relise ce 13ème tome (en plus je suis sûr que je peux lui mettre une note un peu plus décente que 3/10).
Créée
le 8 févr. 2016
Critique lue 498 fois
le 8 févr. 2016
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