Lu en VO, ce qui empêche d'intégrer totalement certains jeux de mots ainsi que l'argot US. C'est globalement assez drôle et dynamique, même si les chutes sont régulièrement peu soignées. Un point supplémentaire pour les notes d'intentions sur la genèse de la création de l'univers Donaldesque, de même que sur le parcours artistique de Carl Barks.


Ce volume des meilleures aventures du célèbre canard est cependant beaucoup moins mature que celles de son vieil oncle radin et acariâtre, qui s'adressait clairement aux adultes nostalgiques de leur enfance et aux férus d'histoire politique américaine. Les couleurs sont ici plus vives, les cases simplifiées à l'extrême et les storyboards beaucoup plus courts.

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