Non le fait que ce film ait 47 ans ne justifie pas qu'il soit aussi étronique .Et pour une fois, comme je vois que vous êtes des dizaines de milliers a me lire chaque jour, on va essayer de développer avec un plan en 4 partie :
- I : Mayonnaise
- II : terre glaise
- III : crème anglaise
- IV : nucléosynthèse


Titres qui sont, vous vous doutez bien, directement inspiré de mes premiers ressentis à propo film .


I - Mayonnaise :
D'un point vue général, purement objectif, qui a su berner la plupart des spectateurs, on pourrait dire que l'ensemble est bien arrangé grâce au sublime sodoculeur en chef qu'est Stanley Kubrick .
Mais franchement pour citer Orson Wells "j'appelle ça du viol et du plagiat ... J'aime pas trop les voleurs et les fils de putes" . Mélanger Blanche-neige et Comment tuer son boss 2 et vous aurez quelque chose de plus digeste que ce film . Et c'est d'ailleurs la ce que je trouve particulièrement délicieux. Autant la manière de filmer l'espace et la place de l'homme passe encore. Ce que je ne tolère pas c'est qu'on nous montre des putains de singes consanguins en train de se beurrer la moule dans les premières minutes du films . Et puis d'ailleurs c'est quoi ce truc noir la qui apparait de manière totalement aléatoire . BORDEL on dirait que la séance d’écriture s'est faite avec le moteur de propulsion a probabilité infini de H2G2 . On ne parlera pas bien sur de la magnifique idée de résumer l'humanité en seulement 4 époque, dans l'ordre :
- les partouzeurs qui s'excitent devant le gode michet le plus prétentieux au monde
- Jo le clodo qui grâce a son mantra détecte le fameux gode en question et ça l'excite ( probablement un descendant direct des partouzeurs )
- La mission Jupitertrophie testiculaire
- Sur le coq , ou se trouve le bite ?


Y'a pas a dire , s'il avait marqué ça sur le recto de la jaquette , je l'aurais acheté di-rect .


II - Terre glaise
Ce que l'opinion publique retient de se """film""" ( si l'on considère l'inceste cinématographique comme une norme du 7ème art ) c'est probablement la musique . Avant d'être pompeuse, elle représente surtout ce que ce chien de Stanley Kubrick était. Le plus grand illusionniste de masse de tout les temps , on avais d'ailleurs déjà vu de quoi il était capable dans des bol de chiasse comme "Lolita" , "Spartacus" ou encore "Le baiser du tueur" . Mais c'est vraiment dans 2001 l'odyssée de mon cul qu'on atteint les sommet du foutage de gueule menu maxi best-of plus . Représenter l'esprit humain , sa quête de pouvoir , son mysticisme et son influence intrinsèque alors qu'on a putins de gaufrier a la place des mains n'est pas une bonne idée , et ça , Stan ne l'avait pas comprit .


Ça m'étonne que peu de gens se soient rendus compte de la supercherie , pourtant le mec a réussit à mettre dans son film le vaisseau le plus phallique de l'univers, de quoi ravir les spectateurs mechanophile qui devaient être nombreux dans les salles obscure, et le premier qui niera ça est un menteur .


III - Crème anglaise
Keir Dullea et Gary Lockwood participent énormément à la nullité sans égal du film . Je pense pour ma part que Stan était trop occupé à se baigner dans son fric et à oublier de leur donner des scripts, laissant alors leur incommensurable talent d'improvisation a l'oeuvre . L'ambiance devient parfois étrange et j'ai eu plusieurs fois peur que le tout devienne un porno gay allemand catégorie Tractopelle.
Alors on regarde seulement un tiers de l'écran, d'ici que le chef des primates décide de se faire un rail de coke le tout en nous montrant la face caché de sa lune . Mais ce que j'ai préféré c'est quand même le fait qu'on essaye de nous vendre du fumier de Yak en nous faisant passer ça pour un diamant 12 carat . Et c'est la le vrai problème : on peut pas essayer de faire un bon film lorsqu'on laisse les cameraman décider eux même quand ils doivent filmer, surtout quand les ingé son essayent de prendre en gorge profonde les perches . D'un point de vue général je regrette qu'on ait pas filmé le tournage en lui même, qui lui devait être instructif, et ô combien excitant .


IV - Nucléosynthèse
Il faut voir ce film comme celui d'un homme qui essaye de faire une omelette avec des sacs de terraux et un accélérateur de particules : c'est toujours marrant dans le concept mais je ne vous conseille pas de rester à côté quand vous aurez fini de verser le premier sac dans les tuyaux . JE veux bien concevoir que Stan essaye d’évoquer la fébrilité du temps humain et notre rapport avec l'univer, qu'il essaye de symboliser l'infini dans un cadre perceptible , le résumant à une essence pur qui se rapprocherait de ce que l'homme est...Mais sa reste quand même de la merde . Et en plus, et ça peut paraître étrange , les dialogues sont totalement explicites tout en essayant de le nier . Et comme si c'était déjà pas assez chiant , Stan a pensé que condenser le tout en 2h20 était une idée parfaitement saine . Je déconseille vivement un visionnage d'une seule traite sous peine de fuite anal et d'une crise d'hémorroïde au niveau des yeux .


Mais alors que tirer de tout cela ? Un scénario déféqué par la bouche d'un singe , des acteurs qui pourraient légiférer le retour de la censure , une bande son sortie du petit frère alcoolique manchot d'Hans Zimmer , des effets spéciaux créer a la va vite avec des cartons d'épisode des premières saisons de south park . Nan sans rire ! Stan ?! qu'est ce que ta foutu ?


C'est mauvais à tout les niveaux, rien a tirer, aucune leçon moral, nada.
C'est un problème


Alors arrêter de faire genre que c'est une révolution cinématographique qui a marqué l'avènement du cinéma moderne : c'est juste un trou noir à QI, supposé génial par des centaines de mange-merde qui seraient capable de boire de l'urine de Picasso juste pour créer un nouvelle hashtag ( #PicassoPee) et qui considèrent comme beau un foetus mort flottant dans le vide spatial .


Si vous tenez toujours a le voir, je vous en prie, gardez en mémoire ce que disait Platon : "Le temps et l'image mobile de l'éternité immobile, alors la calotte de vos mort regardez pas ce film."

Deathlok
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le 10 oct. 2015

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