Je l'attendais, il est arrivé.
Bonheur absolu.
Quel régal que ce film. Au delà de l’hommage à "Brazil" dans l'environnement absurdosociétal, le rôle attribué à un certain "Tuttle" et, bien sûr, le caméo de Terry Gilliam, l'univers de Dupontel résonne en moi et fait résonner la corde émotionnelle qui alimente au final mes canaux lacrymaux.
Et puis, quand les golden globes récompensent l'accident cinématographique "Borat II", 3Adieu les cons" me réconcilie avec les productions récentes, tout en conservant un peu d'espoir dans l'avenir du cinéma, même si l'univers de Dupontel est terriblement pessimiste.
Bien sûr, on peut ne pas aimer tant l'ambiance est marquée, mais en tous cas, moi j'adore. Peut-être plus même !