Du Woody Allen pur jus. « Il y avait longtemps qu'on n'avait pas senti une telle charge mélancolique et une telle rage chez Woody Allen. Filmer relève à nouveau pour lui de la pulsion, et non de la routine. Se rêvant éternellement jazzman, il revisite un répertoire balisé (sexe, judaïsme, névrose et création), mais il retourne la trame, pour dévoiler ce qui fonde son travail : cette incapacité à s'intégrer au monde, a trouver sa place juste et le désir, au crépuscule, de la laisser libre. » (Cahiers du Cinéma)
Créée
le 19 avr. 2017
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