La manière dont la critique accueil les pseudo prouesses d’Aronovsky comme celle de Vincent Cassel doivent depuis longtemps interpeller plus d’un cinéphiles qui ne désespèrent pas qu’on arrête un jour de lui vendre régulièrement des croutes élimées pour d’authentiques œuvres d’art. L’univers (impitoyable bien sur) de la danse, son esprit (bien entendu) de compétition, ses coups (forcément) fourrées, ses jalousies amoureuses sont ici livrées dans un tel premier degré qu’on voudrait nous faire croire qu’il n’y avait jamais eu rien d’écrit ou de tourné avant sur ces très ressassées thématiques.Et puisque Cassel fait comme à son habitude loin de la demi mesure et en rajoute une très grosse couche sur le manager dominateur et sa puissance de séduction nous voilà une fois de plus en présence d’un complet ratage à ne bien entendu « surtout pas rater » (merci c’est déjà fait..).