Comme des bêtes réjouit par son heure et demi de couleurs sur fond de musique jazzy signée Alexandre Desplat : nous voilà replongés dans le New York des années 50-60 où l’amitié triomphera derrière les masques endossés. C’est mignon tout plein, doté d’un dynamisme parfaitement dosé qui pèche peut-être par son excès final – le chien-ninja, les accidents automobiles etc. – et par une auto-publicité Illumination constante. On aime Comme des bêtes pour sa collection de gueules, qu’elles soient canines, cataires ou volatiles, aux aventures trépidantes et éminemment divertissantes.