Critiques de Diamantino

Contrechamp
8

« Le [Cinéma portugais] n’a jamais été petit »

Diamantino est la consécration, à l’inverse de ce penalty raté qui amorce le récit, des réflexions cinématographiques sur la nation portugaise. Les cinéastes portugais (Gabriel Abrantes) et américain...

le 30 nov. 2018

5 j'aime

2

mymp
7

L'ego du stade

Si un jour des scientifiques, inconscients et fous, décidaient de fusionner ensemble Cristiano Ronaldo et Neymar da Silva Santos Júnior, le résultat ressemblerait certainement à Diamantino, joueur de...

Par

le 26 nov. 2018

4 j'aime

seb2046
7

Gazon onirique...

DIAMANTINO (14,4) (Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt, POR, 2018, 92min) : Voilà donc un film ovni complètement déjanté ! Cette expérience cinématographique livre une détonante farce sur la...

le 7 déc. 2018

3 j'aime

Enjoymovie
6

L'ovni portugais de cette année

Diamantino est une comédie portugaise réalisée par Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt. Tous deux ont déjà réalisé plusieurs courts-métrages mais ils ont décidé de se lancer ensemble pour leur premier...

le 5 déc. 2018

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Joe_Zo
9

"et il m'est arrivé des choses bizarres"

Je suis tellement triste que la salle n'était pas remplie ce soir. Deux personnes pour une séance le mercredi soir de la première semaine. Outch. Alors que le distributeur a fait des jeux à gratter...

le 28 nov. 2018

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JanosValuska
7

L’émigrant.

Dans sa dose de formalisme ultra référencé, Diamantino peut grossièrement se loger dans la continuité d’Un couteau dans le cœur ou Les garçons sauvages. S’il est moins vénéneux que le Mandico, moins...

le 22 janv. 2019

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HorsebackRevenge
7

Éloge de la naïveté.

Et naïveté est différent de bêtise. Diamantino est resté un grand enfant, mais avec des sentiments nobles. Par contraste, ses deux pu**sses de sœurs sont comiquement extra-mauvaises, de même que le...

le 4 déc. 2018

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Cinephile-doux
7

L'angoisse du tireur au moment du penalty

On ne saurait résumer Diamantino à une satire du monde du football et à son environnement et pas davantage à un portrait sarcastique de l'une de ses stars le fameux CR7 (oui, Diamantino se balade...

le 9 déc. 2018

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Christoblog
1

Kitsch et laid

Je suppose que le kitsch poussé dans ses dernières extrémités peut trouver des amateurs. En ce qui me concerne, les aventures de ce clone de Ronaldo bête comme ses pieds ne m'ont pas intéressées du...

le 30 nov. 2018

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3

YasujiroRilke
6

Critique de par Yasujirô Rilke

1er long d'Abrantes, après une foule de courts fabuleux (dont ceux de "Pan pleure pas"). Cette fable ultra-moderne, qui pourrait s'appeler "Le Garçon sauvage" en écho à Mandico, est une fascination...

le 16 déc. 2018

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