La proposition de Mike Flanagan souffre d'une inégalité globale qui empêche la bonne volonté du metteur en scène à offrir quelque chose de vraiment pertinent. Il fait au moins l'effort de présenter une forme travaillée, où le cadrage et la mise en scène permettent une atmosphère réussie.
Mais tout du long le spectateur se rend compte que notre ami tente de copier désespérément un certain Kubrick, en plus de choisir le parti pris du "Fan service", notamment sur sa fin.
On préfèrera de loin l’hommage ludique d'un Steven Spielberg dans son Ready Player One...