L'alcool comme remède-prétexte à la mélancolie bien réelle des hommes autour de la cinquantaine. Il faut faire abstraction de quelques incohérences, vite oubliées du scénario. Ce fil raconte la mort programmée d'hommes usés par leurs vies quotidiennes. L'alcool encore comme un hommage à La grande bouffe, poignant. Effectivement ces hommes mutent, se transmutent et renaissent ou se perdent. Ceux qui restent redécouvrent simplement la joie. Oui, un film très masculin, précisément d'une grande sensibilité masculine. Sorti nourri et ému.

Caudron714
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le 17 oct. 2020

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