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Au nom du père
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le 7 mars 2020
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7
Par le réalisateur du sympa mais gentillet Monsters Academy, Disney-Pixar nous inflige un mélo d'aventure sous la forme d'une déception générale. L'intrigue et la caractérisation sont dignes d'un téléfilm M6 d'un dimanche aprem de 1992 mais avec les moyens de 2020.
Donner la voix du grand frère à Chris Pratt est une grossière erreur : au vu de la bouille de Barley, j'attendais Jack Black. On est dans le tout-venant de la production de films d'animation de Dreamworks ou de Sony.
Autant voir (et surtout revoir) Vice-Versa (Inside Out) qui fait mouche au-delà des mots et des personnages, de l'Émotion comme Pixar en faisait jadis avant d'être bouffé tout cru et assimilé par Disney, ce blob géant et boursouflé.
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le 2 mai 2020
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