Nous pouvons dire que l’année des blockbusters sont placés sur l’affrontement après Batman contre Superman et bientôt Iron Man contre Captain America, voici que Alex Proyas
(I Robot, Dark City ou encore The Crow) nous plonge dans la mythologie égyptienne avec le combat entre Seth et Horus.
Ayant eu une promotion quasiment ratée et une critique particulièrement violent God of Egypt est un bon film pour ceux qui ne veulent pas se prendre la tête avec un film trop compliqués à la sauce Nolanienne ce film est fait pour vous !
Mais revenons à l’avis principale de ce blockbuster pharaonique ! L’histoire est simple il raconte comment la survie de l’humanité repose sur les épaules du jeune héros mortel du nom de Bek qui entreprend une périlleuse aventure pour sauver le monde et la fille qu’il aime. Pour ce faire, il doit demander de l’aide au puissant Dieu Horus afin de contrer Seth, le Dieu des ténèbres qui a usurpé le trône d’Egypte, plongeant le royaume dans le chaos.
Évidemment je dois avouer que j’ai était très surpris par les effets spéciaux d’une façon négative, à force d’user des spéciaux la rétine en prends un sacré coup dans la gueule !
De plus le long métrage suit un grand mélange d’une mauvaise mixture de gloupi boulga mélangeant les univers entre Les Chevaliers du Zodiaques, La Colère des Titans et j’en passe !
Malgré des plans de plus en plus laid le film à au moins l’honneur de reposer sur la fascinante mythologie égyptienne, qui aurait pu être travaillé davantage !
Niveau casting c’est dirais-t-on le point fort du film nous retrouvons dans le rôle-titre Gérard Butler (300) en grand méchant dieu Seth.
Dans le même genre nous retrouvons Nikolaj Coster-Waldau (Games Of Thrones) en Dieu Horus.
Sans oublier notre sublime franchie Elodie Yung (La série Dardevil – Saison 2).
Le film de Proyas est un échec sur toute la ligne, n'arrivant ni à être épique ni à être suffisamment drôle pour être pris comme un nanar. C'est simplement une grosse faute de goût qui, on l'espère, ne coûtera pas sa carrière à son réalisateur.