L’ouverture de Hostiles promet de grandes choses : il y a le souffle d’une époque, dangereuse et sauvage, l’ampleur dramatique, le frisson, l’horreur… Puis le film de Scott Cooper se consume à petit feu, malgré la majestuosité des espaces encore vierges et la grandeur des sentiments, l’ambition historique et humaine du réalisateur butant contre une vilaine psychologie de comptoir.
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Francois-Corda
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le 5 janv. 2019

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François Corda

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