I Used to Be Darker

C’est une sorte de mélange idéal entre le Linklater de Boyhood, le Gallo de Buffalo66, le Sachs de Keep the lights on. Je suis toujours très sensible au cinéma sur la manière de traiter ces petites...

Dans les inrocks ils comparent ce film à du Cassavetes. Ok, du Cassavetes sous prozac alors. En effet, chez John ça vit et ça palpite, ici tout les personnages ont l'air de trimbaler leur vague à...

Film chiant. L'idée est sympa mais pauvrement développée, avec des scènes de silence étirées à outrance, des personnages peu exploités, des dialogues faibles et mous. Du coup, ben on s'emmerde, parce...

I used to be darker respecte à la lettre le petit manuel du film indé américain calibré pour Sundance : titre mystérieux promettant une histoire dépressive : check scénario suivant les errances sans...

Deux ans après le beau Putty Hill, Matthew Porterfield continue de jouer sa petite musique folk venue de Baltimore. Un air singulier, frais, discret et agréable, que l'on reconnaît de plus en plus...

Certains films peuvent parler de tout et surtout de rien, du vide, de la vie quotidienne avec talent, voir avec fascination (cf. La tendresse cette année par exemple). Mais ce n'est pas donné à tout...