Royal Gadin
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Mouais, j’en suis pas certain après tout. Roland Emmerich est au cinéma ce que les vins Guevel ou la cuvée du Père Benoît sont à œnologie. Godzilla, 2012, Le Jour d’Après ... Ce type à la manie de vouloir sauver le monde d’une énoooooorme catastrophe. 20 ans après le succès gigantesque d’Independence Day, voici donc sa suite. Personne ne l’attendait vraiment mais la voilà. Disons-le tout net, grosso modo, le contrat est rempli. Ça bastonne, ça flingue, ça tire trois larmes, ça montre des effets spéciaux spectaculaires. Si vous n’attendez rien de plus du cinéma, parfait, vous en aurez pour votre argent (ou votre bande passante). Pour les autres, il y a l’impression d’avoir déjà vu mille fois ce film. On ne s’y ennuie pas mais il n’y a aucune surprise à attendre. Et ne trépignez pas à l’idée qu’un Will Smith vienne dynamiter un humour poussif, ça n’arrivera pas. Bref, le contrat est rempli et Emmerich a encore sauvé le monde. Comme les vins Guevel donc, on ne s’attend pas à grand-chose mais n’empêche qu’en insistant un peu, on peut quand même se prendre une cuite avec et vite oublier ce qu’on a bu.
Créée
le 28 sept. 2020
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