That’s all folk.
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
141 j'aime
6
Créée
le 9 nov. 2013
Critique lue 310 fois
7 j'aime
D'autres avis sur Inside Llewyn Davis
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
141 j'aime
6
Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes session 2013, Inside Llewyn Davis est en effet un très bon cru des frères Coen qui se déguste avec délectation : un film ironique, pluvieux et hivernal, ce...
Par
le 26 mai 2013
79 j'aime
18
Il existe au cinéma une véritable esthétique de la moulasse, avec de très nombreuses variations autour de la moule au milieu du salon, quelque chose qui place le mollusque au niveau des losers...
Par
le 15 nov. 2013
70 j'aime
22
Du même critique
Ceux qui me suivent depuis un moment savent que je m'intéresse de près à la figure de la femme dans les films d'horreur : le genre dans le genre comme dirait Superjèr. (Ceux qui ne le savent pas le...
Par
le 22 oct. 2014
57 j'aime
12
Quelques femmes, dans l’univers, virevoltent au ralenti, les bras lourds tentent de faire s’envoler le corps par la grâce. Mabel est l’une d’elles. Personne ne veut danser - les costumes-cravates...
Par
le 8 août 2014
51 j'aime
8
Déjà, Terminator premier du nom était sexy avec ses lumières bleues et son synthétiseur. Je m'étonnais moi-même de ne pas cracher sur Schwarzy et je fondais comme une petite fille devant Sarah...
Par
le 8 mars 2014
49 j'aime
7