Fatih Akin est un cinéaste archi surestimé. De l’autre côté – sa consécration – c’était pas mal mais on sentait tous les rouages, c’était un pur film de scénario, de festival en somme. Avec Im Juli, son deuxième long métrage, forcément plus approximatif, Akin me semble plus en phase avec son style, qu’il retrouve un peu dans Soul Kitchen, comédie gastronomique forcée, assez pénible. Un style qui s’épanouit mieux dans la légèreté voire la farce. La dernière scène improbable ici est un pur... Lire l'avis à propos de Julie en juillet