
D'accord, c'est assez « chic et toc », cela croule sous les références (au mieux), le pompage (au pire) : Hitchcock et surtout ses meilleurs élèves, le Cronemberg de Faux-semblants, le De Palma de Pulsions, le Verhoeven de Basic Instinct, Argento pour certains cadrages, et j'en oublie certainement. D'accord, l'histoire est complètement invraisemblable et le niveau psychanalytique digne du café du commerce. Cerise sur le gâteau, Françoise Ozon, dont j'ai vu une interview à Cannes, a vraiment une tête de sale petit con–prétentieux–tête à claques. Mais, j'avoue, un peu honteux, que je n'ai pas détesté le film et que, dans le genre nanar friqué–thriller–érotico–psychanalytique, cela se laisse voir.