Je reconnais avoir toujours eu une passion pour le cinéma muet, de Griffith à Murnau en passant par des Feuillade, des von Stroheim et encore tant d'autres, j'en ai avalé des kilomètres de péloche muette, envahi par l'ivresse des profondeurs, je me suis même demandé si j'allais retrouver la saveur du "parlant". Mais, de tous ces plaisirs silencieux, il n'en existe qu'un seul qui m'ait... Lire la critique de La Foule