Un Plympton accessible? La critique du film, par Le Blog du Cinéma
(...) Entre simplicité et extravagance, le récit évolue avec clarté, préparant avec précision et psychologie les divers ressorts de l’histoire, sans hystérie, mais au contraire, avec une logique narrative continuelle.
Comme toujours, Bill Plympton n’hésite pas à remplir l’écran de trouvailles visuelles décrivant autant un état mental, qu’un souvenir très enfoui, et très personnel.
Seulement, tout est justifié. Dans ses précédentes réalisations, le metteur en scène n’hésitait pas à nous détailler ses différents complexes, peurs, fantasmes et souvenirs… représentés dans une folie non-sensique généralement très politisée, sans liant ou continuité particulière. Dans LES AMANTS ÉLECTRIQUES, c’est beaucoup moins le cas. Ou du moins, lorsque le réalisateur convoque ses souvenirs, c’est pour étoffer sa narration : ces moments sont plus rares, et surtout admirablement bien mis en scène (cf la scène du « voilà mon cœur »).
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L'intégralité de notre avis sur le génial AMANTS ÉLECTRIQUES, sur Le Blog du Cinéma