Début des années 70, Wolfgang Reitherman est toujours le réalisateur phare de Disney Animation et livre cet Aristochat intéressant à défaut d’être grandiose !
Une millionnaire, dans le Paris des années 1910, vit seule avec ses chats. Elle est âgée et a rédigé son testament. Son maitre d’hôtel n’arrivant que second sur celui-ci derriére ses chats, il décide de s’en débarrasser…
Une nouvelle fois, l’histoire semble parfaitement coller aux studios, notamment parceque celle ci met en scéne des animaux, et leurs amours, que ce soit entre eux ou envers des humains qui les aiment, pour certains du moins, mais aussi d’autres nettement moins sympathique. Si le film se montre globalement moins intéressants que les précédents, il doit tout son charme à son Paris du début du 20éme siécle et surtout à son style trés jazzy, autant dans l’histoire que dans la musique. Le résultat est même franchement dansant par moment !
L’animation parfaite du film et la technique bien rodé maintenant, depuis les 101 Dalmatiens, apportent forcément de nombreux points à un film qui, certes, fait encore face au problème du final brusque, et à une certaine redite générale en terme d’histoire et de rythme, mais on ne pourra pas rester totalement indifférent devant cet Aristochats qui ne fait pas partie des films les plus cités du studios mais reste une réussite !