On a eu un premier film sympathique, qui vous parlait, et maintenant on a un deuxième volet, qui veut faire la même chose. Mais « la même chose », c’est VRAIMENT la même chose…
Soyons sérieux… Un garçon turbulent attisant les foudres de sa famille, qui se trompe d’avion et se retrouve seul, qui trouve ça cool avant de se résigner à trouver ça un peu compliqué et de se servir de sa débrouillardise, qui se fait harceler par toutes sortes d’antagonistes histoire de corser les choses, trouvant un allié imprévu aux premiers airs absolument terrifiants qui lui fera même ouvrir les yeux sur certaines choses (et réciproquement), avant de piéger sa maison contre des cambrioleurs qui l’attraperont après en avoir bien bavé et de se feront stopper par l’allié imprévu avant l'arrivée des flics, pour finalement retrouver sa famille, heureuse comme tout, mais se faire crier dessus par l'un d'entre eux pour une bêtise conséquente aux côtés de ses prises de responsabilité… (Tiens, une phrase de 9 lignes et demi ; on dirait que j’aime bien pasticher Joyce)
Ça ne vous rappelle rien ? Non ? Arrêtez de vous leurrer…
Quand on préfère ne pas se casser la tête, on ressert la même recette. Y aurait-il là une critique du système hollywoodien ?