Un film dit d'action où l'action se fait rare, un film de samouraï quasiment sans armes ni violence...c'est un peu particulier, je vous l'accorde !
À première vue "Sanjurô" est une incongruité qui peut dérouter les admirateurs du genre, tous ceux qui frémissent d'impatience d'entendre les sabres s'entrechoquer, de voir quelques samouraïs s'écharper à coup de lames bien aiguisées et de pouvoir...
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Un bon sabre reste dans son fourreau !
Sanjuro nous apprend plusieurs choses, d'une part, que l'on peut réaliser un film un an après le précédent sans pour autant bâcler une intrigue. Que l'on peut aussi réutiliser le même personnage principal sans le bafouer, le contredire et le ridiculiser. Et enfin, que Kurosawa qui compte une pléiade de chef d’œuvres à son actif, n'en reste pas moins l'un des maîtres du divertissement intelligent....
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La lame aux camélias.
Suite directe du Garde du corps, Sanjuro reprend le principe fort sympathique de la dynamique de l’opus précédent ; soit le samouraï vagabond, Mifune plus ours que jamais, déboulant au milieu d’un coup d’état au sein d’un clan.
A la noirceur grotesque succède désormais un humour plus affirmé : si Sanjuro se...
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A Poor Lonesome Samouraï
Comme Yojimbo, Sanjuro est centré sur ce même personnage, à savoir un samouraï sans maître, ni foi, ni loi, préférant ruser plutôt que d'utiliser son sabre et il est ici question de corruption au sein d'un clan qui va recevoir son aide.
Akira Kurosawa signe-là une oeuvre de transmission, symbolisée par la séquence finale, où Sanjuro va venir en aide à un groupe de...
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Critique de Sanjuro par Scopini
Au commencement, il n'y avait rien.
Alors Dieu inventa les hommes.
Parce qu'il était bon et qu'il voulait que les hommes soit heureux, il inventa le cinéma.
Et pour guider les hommes, il donna naissance aux apôtres de cet art. Parmi eux : Akira Kurosawa.
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Sanjūrō est la "suite" de "Yōjimbō, le garde du...
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L'homme aux camélias
C'est bizarre mais après avoir vu "Sanjuro", j'ai eu la sensation d'avoir vu un véritable concentré de cinéma.
Tout y est, un scénario parfaitement construit, une mise en scène au cordeau, des thèmes en veux tu en voilà, un acteur principal diablement charismatique, de l'humour, de la poèsie, de l'action, du suspense... Un bel objet cinématographique !
En nous racontant l'histoire de ce...
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Jubilatoire
Alors, oui, évidemment, ma note n'est PAS objective, parce que Kurosawa est un des seuls réalisateurs qui sait capter mon attention dans tous ses films, un des seuls capable de me faire tout oublier pendant le temps du visionnage. Sans compter qu'il a établi de nombreux codes du cinéma et inspiré parmi les meilleurs films à suivre. Ce qui lui vaut mon inconditionnel respect et admiration. Mais...
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Atypique et passionnant
"Sanjuro" est un film formellement étonnant, qui n'a pas la noblesse si caractéristique de l’œuvre de Kurosawa, et dont la mise en scène manipulatrice et drôle laisse voir toute l'influence qu'il a pu avoir sur le Leone première période. Atypique mais passionnant, "Sanjuro" nous délecte de moments drôlatiques, voire bouffons, et en voyant les scènes de...
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Action et comédie chez Kurosawa
Kurosawa tourne Sanjuro directement après Le garde du corps (1961). Ces deux films mettent en scène un rōnin (samouraï sans maître) louant ses services à la fin de l'ère Edo. Interprété par Toshirō Mifune, il emploie moins ses compétences au sabre que les ruses soufflées par son esprit cynique...
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Yojimbo 2
Film similaire à Yojimbo sur beaucoup d'aspects, et peut-être un peu trop, Sanjuro est malgré tout un très bon film de Kurosawa.
La trame est assez proche de celle de Yojimbo, quand on y pense: Un ronin d'une grande intelligence (incarné par un Mifune toujours aussi grand), s'infiltre dans un camp adverse pour sauver une bande de jeunes hommes un peu désemparés. Le ton est plus léger que le...
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