Critiques de Kuroneko

Sergent_Pepper
8

Honnie soit qui mâle y panse.

Il suffit de quelques plans pour retrouver tout l’esprit de Shindo, celui à l’œuvre dans le chef-d’œuvre Onibaba : les herbes hautes, la violence, les visages luisants de l’homme esclave de ses...

le 19 avr. 2016

36 j'aime

5

Docteur_Jivago
7

Lutte des classes

Chacune de mes rares expériences avec le cinéma fantastique japonais m'a passionné et surtout fasciné, alors lorsque Kaneto Shindō s'intéresse à de vieilles légendes de son pays pour mettre en scène...

le 27 févr. 2019

22 j'aime

5

Taurusel
8

Vengeance fantasmagorique

Nuées de brouillard, silence musical aux échos naturels, vide oppressant, voilà la conception métaphysique de la vengeance des esprits sur les vivants par Kaneto Shindo. Film sur fond de dramatisme...

le 16 août 2012

17 j'aime

10

Morrinson
8

Éradication du mâle à la source

Plus on parcourt la filmographie de Kaneto Shindō, plus on s'aventure dans les recoins poétiques et atmosphériques de ses histoires, et plus le charme vénéneux de ses images fait sens, plus il gagne...

le 10 oct. 2016

14 j'aime

2

Alligator
8

Critique de par Alligator

août 2010: Le précédent Kaneto Shindô que j'ai vu avait développé en moi une étrange paix, une fausse paix, une quiétude d'apparence, une réelle et concrète attention, faite de tension et d'intérêt...

le 13 avr. 2013

6 j'aime

5

nolwenn_chauvin
6

Critique de par nolwenn_chauvin

Violées puis brûlées vives par des samouraïs alors que leur fils et époux est parti à la guerre, deux femmes reviennent, sous forme de spectre, hanter le lieu de leur mort après avoir juré à des...

le 22 juil. 2012

3 j'aime

Cinephile-doux
8

Victimes des samouraïs

Violées et assassinées par un groupe de samouraïs, une femme et sa belle fille deviennent des fantômes possédés par l'esprit d'un chat noir et obsédés par la vengeance. Dirigé par Kaneto Shindô...

le 30 août 2019

1 j'aime

YgorParizel
9

Critique de par Ygor Parizel

Ce long-métrage est une tragédie fantastique mais aussi en quelque sorte une histoire de samouraïs. Les 25 premières minutes sont sublimes ensuite l'intensité retombe légèrement (mais ça reste très...

le 19 avr. 2016

1 j'aime