"First sequence" avait l'originalité du propos, "Full sequence" s'embourbait lamentablement dans un gore en noir et blanc sans créativité, "Final Sequence" pousse son concept dans son dernier retranchement et joue allègrement de l'excés pour tomber dans un burlesque gore scatophile.
Mention spéciale à Dieter Laser qui se fait plaisir dans son rôle de chef de prison déjanté qu'il surjoue sans ménagements pour offrir des moments complètements barges et ridicules. Et son assistant n'est pas toujours en reste.
C'est nul, honnêtement, mais c'est fun. Un nanard assumé et suffisamment mené pour ne pas manquer d'un certain intérêt ni d'un certain attrait. Un petit plaisir coupable.