Trente ans après avoir été dépecé par l'extraterrestre aux dreadlocks, Shane Black prend sa revanche sur le Predator et signe, à la demande de la Fox et avec l'aide de son pote scénariste Fred Dekker, The Predator. Manque de bol, le studio a des griffes plus aiguisées que sa créature, et le film, inégal, devient victime des différentes intentions qui le tiraillent. Mais au moins la personnalité de Black se reconnaît-elle indéniablement dans son escouade de bidasses psychotiques, apportant une identité à un blockbuster qui ne se démarque que davantage.
Par ici la bafouille : https://supermarieblog.com/2018/10/19/the-predator/