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Doggy style
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Mad Max en short
La poursuite de la première scène frappe très fort (c’est certainement la meilleure du film) et pose d’emblée tout ce qui va faire la réussite de The Rover : une ambiance pesante, une esthétique chiadée mise au service du film, des hommes violents et mutiques, du bitume et de la poussière. Pas grand chose de plus… Mais c’est largement suffisant pour façonner un très bon western post-apocalyptique où survivent l’intimidant Eric (Guy Pearce) et l’idiot Rey (c’est la première fois que je suis convaincu par Robert Pattinson), deux âmes perdues qui vont devoir s’associer par la force des choses. Pas la peine d’attendre le prochain Mad Max de Miller, il est déjà arrivé.
7
Écrit par
Créée
le 2 sept. 2014
Critique lue 340 fois
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