8
Un good german
J’aime Un taxi pour Tobrouk depuis toujours. La fin brutale, tranchant des happy-ends des films de mon enfance, m’a marqué à vie. Ce film est souvent présenté comme un road-movie pacifiste, c’est...
le 17 oct. 2015
28 j'aime
9
Un taxi pour Tobrouk par Alligator
Très bon film de guerre, sorte de huis-clos dans le désert. Trois soldats français se retrouvent embarqués avec un prisonnier allemand sur une jeep pour rejoindre Tobrouck. Le voyage donne lieu à des joutes verbales à la Audiard du plus bel effet, mais aussi à montrer de l'humanisme dans les rapports humains, confrontés aux réalités de la guerre, tragiques.
Un très bon film.
Un très bon film.
8
Écrit par
Créée
le 23 nov. 2012
Critique lue 302 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Un taxi pour Tobrouk
9
5 hommes dans le désert
Voici un excellent film de guerre français (en co-production avec l'Espagne) des années 60 qui est devenu un grand classique, un film que j'ai vu très jeune, que j'avais apprécié et que je continue...
Par
le 28 févr. 2017
21 j'aime
4
7
La bande à Lino.
Adapté du roman de René Havard par l'écrivain lui-même, Un taxi pour Tobrouk aura remporté le Grand Prix du cinéma français en 1961, ainsi qu'un franc succès dans nos salles, devenant un véritable...
Par
le 12 oct. 2015
17 j'aime
2
Du même critique
5
Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator
Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...
Par
le 22 nov. 2017
54 j'aime
16
3
Critique de Holy Motors par Alligator
août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...
Par
le 20 avr. 2013
53 j'aime
16
9
Critique de Sharp Objects par Alligator
En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...
Par
le 4 sept. 2018
50 j'aime
