Parce que c'est beau.
Parce qu'on se pose la question habituelle de savoir qui est vraiment fou dans cette charge virulente contre les méthodes psychiatriques de l'époque.
Parce que Jack Nicholson, c'est le grain de sable dans la machine, le trublion qui change les règles selon son bon plaisir, magnifiquement épaulé par des rôles secondaires marquants où on reconnaît, entre autres, Danny De Vito et Christopher Lloyd.
Parce qu'on rit, pleure, se révolte face à la vie de ces internés.
Parce que la fin vous fait pleurer.

Parce que Forman signe un chef-d'œuvre, voilà tout, magnifiquement porté par des acteurs qui le rendent encore plus indispensable à voir.
Lonewolf
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le 30 mai 2011

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