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Ciao amore
Xenia, la quatrième long-métrage du grec Panos H.Koutras, est né d’un triple désir. En premier, de faire un retour sur les années d’adolescence, celles de la rébellion et de l’intensité, ensuite...
le 20 juin 2014
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Joli mais mal fichu
Porté par l'énergie d'une guérilla queer, Xenia commence très bien. La mise en scène est vive, le récit rythmé, les deux interprètes principaux donnant joliment corps à ces deux frères orphelins en quête d'impossible.
Albanais par leur mère, l'un bientôt majeur donc expulsable, l'autre homosexuel assumé et frondeur, voyageant entre Athènes et Thessalonique dans une Grèce gangrénée par les milices fascistes, Dany et Ody nous entraînent dans un road movie d'abord surprenant, puis convenu, et finalement décevant dans sa dernière partie.
Si l'histoire est improbable, le film nous permet d'abord d'y croire avant de rendre l'improbable impossible. On salue les déviations oniriques, les jolies scènes de complicité et d'amours fraternelles, mais on regrette un film trop long, au final mal ficelé, le scénario s'étirant sans raison et rendant toute émotion impossible.
C'est dommage car il y avait là de quoi rendre le soleil Grec éblouissant. Notons cependant la forte présence de Kostas Nikouli et la belle plastique de Nikos Gelia. Un film touchant parfois et souvent mal fichu, un peu raté donc.
Albanais par leur mère, l'un bientôt majeur donc expulsable, l'autre homosexuel assumé et frondeur, voyageant entre Athènes et Thessalonique dans une Grèce gangrénée par les milices fascistes, Dany et Ody nous entraînent dans un road movie d'abord surprenant, puis convenu, et finalement décevant dans sa dernière partie.
Si l'histoire est improbable, le film nous permet d'abord d'y croire avant de rendre l'improbable impossible. On salue les déviations oniriques, les jolies scènes de complicité et d'amours fraternelles, mais on regrette un film trop long, au final mal ficelé, le scénario s'étirant sans raison et rendant toute émotion impossible.
C'est dommage car il y avait là de quoi rendre le soleil Grec éblouissant. Notons cependant la forte présence de Kostas Nikouli et la belle plastique de Nikos Gelia. Un film touchant parfois et souvent mal fichu, un peu raté donc.
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le 21 juin 2014
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