La Galice jusqu'à l'hallali
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L'élection d'une reine de charité pourrait permettre à une agence de publicité d'éviter la banqueroute. Le film de Raoul Walsh (à ne pas confondre avec celui de Frank Tashlin) est rempli de bonne humeur dans une critique à peine esquissée du capitalisme. Les intrigues amoureuses sont simplifiées au maximum, ce qui est commun dans les comédies musicales (l'un des numéros a été mis au point par le jeune Vincente Minnelli). A part le bonheur de voir Ida Lupino, au physique et au jeu déjà très modernes, et brièvement Louis Armstrong (avec une chanteuse blanche ce qui créa un léger scandale, autres temps, autres moeurs), il n'y a pas grand chose à souligner dans ce film très, très mineur dans la carrière du grand Raoul Walsh, lequel était quand même plus à l'aise dans les films d'action.
Créée
le 31 déc. 2017
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