At First Light
5.8
At First Light

Film de Jason Stone (2018)

C'est pas vilain mais c'est pas grandiose non plus.


Le début est très mou, au point d'être tenté de couper le film et se faire un petit "Jacquie et Michel". Mais si on persévère, ça finit par se débloquer, être un peu plus riche. Un peu seulement, mais c'est déjà ça. L'idée est séduisant mais le développement est faible. De même qu'on trouve des personnages intéressants, certains convenus mais quand même intéressants, sauf qu'ils ne sont pas assez développés. Les conflits ne se ressentent pas beaucoup, certaines résolutions sont faciles.


La mise en scène est agréable : une photographie plaisante avec des compo équilibrées et une lumière travaillée, quelques idées visuelles qui fonctionnent bien, un découpage sobre et globalement efficace, un montage certes un peu mou mais cohérent globalement et enfin des acteurs qui vont bien le boulot (en plus l'actrice est mignonne).


Bref, un film ébauche on va dire.

Fatpooper
6
Écrit par

Créée

le 7 déc. 2020

Critique lue 180 fois

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 180 fois

D'autres avis sur At First Light

At First Light
Fatpooper
6

Phase I enclenchée

C'est pas vilain mais c'est pas grandiose non plus. Le début est très mou, au point d'être tenté de couper le film et se faire un petit "Jacquie et Michel". Mais si on persévère, ça finit par se...

le 7 déc. 2020

At First Light
OlivierAntoine1
4

mouais...

J'attendais tout de même un peu plus de ce At first light. Le début m'a donné des raisons d'y croire, commençant comme une chronique adolescente de la précarité des quartiers pauvres, il y a un...

le 6 sept. 2020

At First Light
Mathys_Brain
4

Ma critique...

Ce film pas mal déçue moi qui a pourtant l'habitude de ne pas trop me soucier de la qualité du film de que je regarde. Celui là était frappent que le film n'était pas de très grande qualité. Je ne...

le 17 avr. 2020

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

121 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

115 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

103 j'aime

55