August in The Water aurait pu être une œuvre d’une magnificence peu commune si Sogo Ishii avait laissé plus de mystère sur la fin de son long-métrage. Une fin qui s’avère trop explicite dans les longueurs qu’elle s’accorde. On aurait aimé une fin moins parlant donc, nous laissant baigner dans nos pensées, nos réflexions et nos rêveries. Sans ça, August in The Water n’en reste pas moins une œuvre cinématographique d’une puissance évocatrice par son propos qui nous transporte par son atmosphère. Un morceau de pur enchantement mettant nos sens en éveil, un moment fusionnel avec la nature à la fois si belle et hostile.
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