Je vois en Balada Triste l'essence des 2001, Clepsydre, Enter The Void, ou même Rubber, celui du cinéma subversif le vrai. Tout ce que je peux attendre d'un film je l'ai trouvé dans celui la. Tout t'y es excessif, le mélange des genre aussi, ou la comédie, le drame et l'horreur cohabite ensemble de façon explosive. De même pour le déroulement du scénario, la descente au enfer est cartoonesque tellement la folie arrive de manière fulgurante comme la mort (qui est l'une des plus belle scène du cinéma) et l'amour. Tout y est raconté avec talent, et sincérité. Un de mes plus gros coups de coeurs.
Paul_Deszczynska
10

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le 22 août 2014

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