L’œuvre la plus complexe et la plus intriguante des Coen, à défaut d'être leur meilleure, BARTON FINK se veut être une violente baffe métaphorique où signer un contrat avec Hollywood ressemble formellement à contracter un pacte avec le Diable. Mise en scène ingénieuse et acteurs prodigieux n'empêchent les quelques longueurs et redondances d'un récit archi-abstrait pourtant fascinant.
MaximeMichaut

Écrit par

Critique lue 414 fois

1

D'autres avis sur Barton Fink

Barton Fink
DjeeVanCleef
10

Mon voisin Turturro

New York, 1941. Fort du succès publique et critique de son unique pièce, un drame poétique sur le monde des poissonniers, Barton Fink a le vent en poupe. Hollywood, par le biais d'un contrat chez...

le 31 mai 2014

105 j'aime

28

Barton Fink
sebero
5

Le serpent qui se mord la queue

Commençons par le positif, premièrement l’interprétation Goodman/Turturo c’est du solide. Belle performance de Goodman aussi bien crédible en gros benêt simple d’esprit qu’en tueur sans pitié tout...

le 30 déc. 2012

48 j'aime

6

Barton Fink
fabtx
7

L'Enfer d'Hollywood

Si vous aimez les films avec des fins propres et nettes où toutes les intrigues sont tranquillement résolues avant le générique, passez votre chemin, ce film n'est pas pour vous. Par contre, si...

le 12 janv. 2011

48 j'aime

Du même critique

Un homme idéal
MaximeMichaut
5

"Le sable était noir..."

À l'image de son titre fraudeur, Un Homme Idéal patine prévisiblement sur ses ambitions de thriller référentiel, mésaventure romantique d'un plagiaire glissant sur la pente rocambolesque du crime...

le 25 mars 2015

23 j'aime

The Homesman
MaximeMichaut
8

Critique de The Homesman par MaximeMichaut

THE HOMESMAN est un sublime western empli de folie douce, où Tommy Lee Jones encre son talent de metteur en scène en brouillant avec talent les limites entre réalisme et fantastique, âpreté et...

le 19 mai 2014

15 j'aime

Baby Driver
MaximeMichaut
8

Des promesses à tenir et des miles à parcourir avant de revivre

Fraîchement rejeté du projet Ant-Man par l'écurie Marvel, Edgar Wright s'est lové dans l'un de ses amours majeurs de cinéma, The Driver de Walter Hill, pour enfin donner naissance à un projet vieux...

le 22 juin 2017

13 j'aime