Un moment de poésie venue des confins de la Chine, du désert de Gobi plus exactement. Les animaux sont omniprésents, et l’amour qui leur est porté transpire chaque minute du film et même au-delà, dans le générique final. Leurs aventures avec les hommes se déroulent dans une horrible cité en décrépitude plantée au milieu de somptueux décors de déserts.
La qualité de l’image n’est pas celle des dernières technologies de Hollywood, mais ce grain donne un charme supplémentaire à cette pépite.
Eddie Peng réussit un incroyable numéro pour une raison que je ne dévoilerai pas sous peine de spoil éhonté, mais quelle performance !
Une seule envie à la sortie : se précipiter retrouver mon chien :-)