Plus efficace qu'un somnifère, voici Blade Runner réalisé par Tony Scott (le type qui a fait Top Gun et Thelma et Marie-Louise). Dans ce film nous allons donc suivre les pérégrinations de Han Solo qui se fait ch*** comme un rat mort dans son cabanon high-tech jusqu'à ce qu'un de ses collègues (un gros) l'appelle pour l'aider à neutraliser des réplicants. Les réplicants c'est un peu comme des terminators sauf qu'ils récitent de la poésie au lieu de butter tout le monde et ne savent pas s'occuper décemment des tortues.
Donc Indiana Jones accepte et se lance à leur poursuite dans un Los Angeles futuriste pompé sur Luc Besson et un clip des Spice Girls. Il va croiser la route de Sean Young Guns qui est aussi une réplicante mais qu'il va quand même se taper parce qu'il a des penchants robotphiles.
A la fin il tombe sur Splash et Hitcher qui est un réplicant feignant (sans doute membre de la CGT) ne voulant pas bosser. Han Solo les envoie au tapis, rentre chez lui et y découvre un pliage laissé par le commandant Adama, sans doute adepte d'origami. Horrifié par ce présent (pourtant c'est gentil à la base), Rick Hunter décide de prendre la poudre d'escampette avec la fille et le film s'arrête brutalement.
Et dire qu'ils vont faire une suite...