« Braveheart est une référence», telle est la première et dernière phrase de cette critique.
Braveheart est la preuve que Mel Gibson reste un excellent acteur mais peut également être un très bon réalisateur. Selon moi, Braveheart (1995) et La Passion du Christ (2004) sont ses plus grandes réussites.
Bien que représentant typiquement la figure du Blockbuster Américain (Figure héroïque idéalisée, histoire très romancée, point de vue scénaristique très manichéen, histoire déformée au profit du scénario…), Braveheart est un de ces rares films qui parvient à trouver un juste milieu, qui parvient à dénoncer la cruauté humaine mais également la beauté de l’Homme à travers une seule et même histoire : celle de William Wallace, grande figure de l’indépendance écossaise, face au Roi d’Angleterre, à la fin du XIIIème siècle.
Gibson gère la réalisation du bout des doigts: chaque scène, chaque plan, chaque particule du film est une déclaration d’amour au cinéma et à ce que représente la plus belle des valeurs : La Liberté.
Au fil du temps, Braveheart est devenu une référence du genre et a su rester graver dans les mémoires.
Une grande histoire, une bande originale somptueuse signée James Horner, un casting riche, et une excellente réalisation sont les ingrédients de ce long-métrage.
Véritable Idylle à la liberté, « Braveheart est une référence » et je le recommande à quiconque.