Critique de Cash par Hansy
Regarder ça un dimanche soir et se dire que l'on va peut être mourir avant la fin.
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le 30 oct. 2010
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C'est la phrase d'accroche de l'affiche qui ouvre le film : "Il n'y a pas d'arnaque sans pigeon". Et le premier plan se fait sur... des pigeons. Le ton est donné : on ne va pas faire dans la finesse.
Une intrigue et une mise en scène pompées sur Ocean's Eleven, une fin copiée-collée sur Les neufs reines (film argentin génial), un scénario qui n'est pas à la hauteur de son ambition (les critiques disent qu'il est complexe, mais dès qu'on a compris que tout le monde double tout le monde, il n'y a qu'à se laisser mollement porter), Cash est l'exemple même de ce que donne le cinéma français quand il essaye de se la jouer à l'américaine : artificiel et sans saveur.
Reste Alice Taglioni, ici très sexy, et le regard pétillant de Dujardin, assez crédible dans le rôle du gentleman arnaqueur. Pas de quoi rendre le film intéressant.
Créée
le 30 mai 2016
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