Le sommeil d'or
Cemetery of Splendour s’inscrit dans la prolongation de l’œuvre de Weerasethakul. Continuité thématique, on y parle encore de maladie, d’hôpitaux, de croyances religieuses, de confrontation...
Par
le 31 mai 2015
44 j'aime
15
Oeuvre très philosophique ,je veux parler de la philosophie banale du quotidien ,mais la plus essentielle,la vie , la mort, le sommeil dans lequel nous sommes plongés ,les tuyaux que les médecins nous posent sur le nez ,dans le bras , dans la vessie, où se situe la vie , où se situe la mort , où trouver la frontière dans cette modernité, elle serait peut être dans la relation si minime soit -elle à l'autre , au "vivant"?
Magnifique , mais il faut être prêt à se laisser envoûter par cette œuvre toute de splendeur
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Mon top 2015
Créée
le 4 sept. 2015
Critique lue 298 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Cemetery of Splendour
Cemetery of Splendour s’inscrit dans la prolongation de l’œuvre de Weerasethakul. Continuité thématique, on y parle encore de maladie, d’hôpitaux, de croyances religieuses, de confrontation...
Par
le 31 mai 2015
44 j'aime
15
Un vrai artiste abolit les frontières, s'affranchit des particularismes, jette des ponts entre les époques et les mentalités. /Copier/Apichatpong Weerasethakul /coller/ peut être considéré, à partir...
Par
le 12 févr. 2016
38 j'aime
33
C'était mon tout premier Joe en salles. Et tout ce que je peux dire, c'est que ça a été l'une des plus belles séances de ma vie. J'ai rarement été autant envoûté au cinéma. C'est ma première aussi...
Par
le 10 sept. 2015
24 j'aime
9
Du même critique
Une invitation à la danse d'une poésie sans pareil. Tout en pudeur, tout en désir, tout en amour. Un film qui nous parle surtout des corps communiquants. Il est bien sûr question de danse, mais...
Par
le 2 nov. 2018
9 j'aime
2
Je l'ai revu aujourd'hui après tant d'années, 1977, et toujours aussi charmant. Diane Keaton si féminine dans ses vêtements d'homme, trop grands, ses jolis feutres sur la tête et ses trop grandes...
Par
le 26 sept. 2016
8 j'aime
2
Du grand Varda, du grand JR. Tout d'amour, de poésie, de visages, de villages, d'images, de gens, de chèvres avec ou sans cornes, d'artiste de capsules de bouteilles, de dockers, de femmes de...
Par
le 27 juin 2017
7 j'aime
4