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Ode à Charlotte.
Le cinéma de Serge Gainsbourg a quelque chose de très expérimental, où l'abstraction et la nature un tant soit peu extrême des sujets abordés peut choquer. J'avais plutôt bien aimé Je t'aime moi non...
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le 19 juin 2013
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Charlotte for never
Le cinéma de Monsieur est très approximatif, le cadrage injuste, les acteurs sont absents et la diction névrosée et absconse. mine de crayon, j'ai explosé mon crayon à force d'astiquer le papier carbone.
Cela peut être le film le plus proche de Lolita, la poésie muette de la gamine en (sur)plus.
J'adore Gainsbourg, j'en ai pris plein les mirettes. Mais on se morfond dans le génie et l'image ne transparaît ces augures-là qu'à de rares occasions.
Je suis d'accord pour dire que c'est un documentaire fictif sur la réalité de ce qui n'a jamais été fait. Entre le clou et le kopeck, il y a un trou dans la pièce. L'absence d'une mère fait jaillir des déclarations apocalyptiques dans un contexte oedipien assumé.
Cela peut être le film le plus proche de Lolita, la poésie muette de la gamine en (sur)plus.
J'adore Gainsbourg, j'en ai pris plein les mirettes. Mais on se morfond dans le génie et l'image ne transparaît ces augures-là qu'à de rares occasions.
Je suis d'accord pour dire que c'est un documentaire fictif sur la réalité de ce qui n'a jamais été fait. Entre le clou et le kopeck, il y a un trou dans la pièce. L'absence d'une mère fait jaillir des déclarations apocalyptiques dans un contexte oedipien assumé.
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le 3 nov. 2012
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Charlotte for never
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