Bevilacqua... à jamais
Il y a la voix d’abord, il y a la voix bien sûr, douce, charnelle et languissante, qui passe sur nous telle une caresse, tel un frisson à l’échine. D’emblée elle égrène, dans un murmure, des titres...
Par
le 24 mars 2023
Cinéma, il en était fou, mais ce Doc enterre définitivement le créateur d'ambiance qu'était
Christophe.
On s'ennuie vite sans rien y apprendre, pour ceux qui connaissaient le bonhomme ~ son Style & sa Musique, car il n'était pas Que Chanteur pour minettes.
Créée
le 11 juil. 2025
Critique lue 6 fois
Il y a la voix d’abord, il y a la voix bien sûr, douce, charnelle et languissante, qui passe sur nous telle une caresse, tel un frisson à l’échine. D’emblée elle égrène, dans un murmure, des titres...
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le 24 mars 2023
Il défait la chronologie et nous transporte des scènes de l’Olympia à Versailles, des coulisses à l’appartement home-studio de Christophe où se mêlent ses passions, ses fétiches, ses trésors...
le 23 mars 2023
Un artiste avec un univers, un son, des mots, un peu reveur le beau bizarre, a la recherche de ce paradis perdu, totalement melomane...Merci Christophe d être venu...
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le 19 mars 2023
Un chouïa trop long ce brûlot, ce Sexo-Christique de Paul Verhoeven.L'église en prend encore pour son grade dans cette Grand Messe de la manipulation. Casting remarquable.
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le 14 avr. 2025
2 j'aime
1
Le scénario cousu de fil blanc n'est que prétexte à balancer sur ce qui fait Tâche : médias - politicards - finance & Pouvoir, une Farce quoi ;°)
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le 14 avr. 2025
2 j'aime
Alors c'est soit le "conventionnel" d'un S. Spielberg, avec les victimes, ou l'expérimental de L. Nemes visant seulements leurs bourreaux, efficace mais pas facile
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le 14 avr. 2025
2 j'aime