Rohmer, de son œil et de son esprit littéraire habiles, illustre les désirs indécis que nous donnent les jours d'été. La chaleur, la soif de chair et de fraîcheur... Les flâneries sentimentales nous laissent voguer en leurs méandres de réflexion. A travers cet ode à la rechercher de l'alter ego transparaît un véritable poème à la passion saisonnière qu'inspire ces jours lents, longs mais chaleureux et colorés de la saison estivale.

On se perd avec goût dans leurs chemins de promenade, dans leurs hésitations mutuelles, leurs certitudes absolues. La passion véritable. "Les braves ne vivent peut-être pas longtemps, mais les prudents ne vivent pas du tout."
- Richard Branson.
Mais qu'elle est la véritable réponse à toutes ces questions ? Finalement, peut-être n'y en a t-il pas. Elles sont toutes bonnes et toutes mauvaises à la fois. Et c'est en ça qu'un Rohmer est intéressant, à sa manière.
mllenobody
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le 27 août 2013

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Melan Cholia

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