Mieux …

Comment ne pas penser aux images ridicules servies complaisamment par les plateformes de streaming ! Le film DA III, lui, évite soigneusement le politiquement correct au profit d’un féminisme de bon aloi et d’une homosexualité très assumée, sans provocation.
La douairière nous manque bien sûr … mais, de Londres au domaine de DA, tout et tous sont à leur place, immuables malgré les apparences et les vicissitudes : à chaque échelon de cette société britannique, que nous aimons tant à notre corps républicain défendant, la vie continue avec quelques rares échanges d’un échelon à l’autre ; mais, comme après la pierre tombée dans l’eau, la surface, un temps troublée, s’apaise, et bientôt plus rien ne semble avoir bougé … Pourquoi ? Les bonnes manières bien sûr ! Ces bonnes manières qui pansent les pires blessures à la manière du magnétisme naturel qui permettait de maintenir l’ordre dans le royaume !
Au terme de toutes ces aventures, les pierres du château, un peu effritées, restent en place pour l’éternité. On est loin de la réalité ? Qui prétend qu’un film n’est pas fait pour rêver ! Ni Disney, ni Arlequin … Mais britannique, tout simplement, au poil du bonnet de factionnaire près.