« Un jour, un homme du nom de James Wong se promenait tranquillement dans un champ de blé (ou peut-être était-il dans sa voiture, ou dans l’avion en train de demander un verre de jus à une hôtesse de l’air, ou dans l’eau en train de se no… Bref. quoi qu’il en soit, pour que notre histoire se déroule parfaitement, nous allons rester sur un chemin de pierre à la campagne). Quand tout à coup : il passa près de la tombe d’un pauvre monsieur, mort il y a quelque semaines malheureusement. Ce monsieur s’était ôté la vie à cause du chagrin et du regret.
Alors James Wong eu un déclic et, de tristesse, se dit :
« que c’est immonde. Pouvoir profiter de la vie alors qu’on sait que tôt ou tard nous allons trépasser et quitter cette terre pour toujours…. »
Et puis, de colère, il leva la tête et cria en direction du ciel :
« Oh toi qui vie là-haut, qui voit tout et qui entend tout : n’as tu donc pas de cœur ? Cela te plait donc tant de créer des supplices pour chaque être vivant ?! ».
C’est alors qu’une voix, venue des nuages, lui répondit :
« Mon cher James Wong, je peux comprendre ta douleur, et je peux comprendre que ce cycle de la vie te semble trop cruel. Mais sache que c’est la chose la plus douce que je pouvais créer pour cette terre ».
James Wong dit alors :
« Que veux-tu donc dire ? En quoi la mort aide les êtres humains, ici ? ».
Ce à quoi la voix répondit :
« Écoute, si j’ai créé le trépas, si j’ai voulu aider les gens autour de toi, c’est pour une seule raison…. À CAUSE DE TON PUTAIN DE FILM !
Sérieux, t’as crées la pire merde de l’humanité ! Les gens étaient tellement sous le choque qu’il y’en a une centaine qui son passé de joie de vivre à trépas ! Si des gens on la calvitie, c’est parce-qu’ils ont vus ton film (qui donne envie de se brosser les dents au couteau de chasse).
Je suis même allé demander à Satan, pour voir si ce truc ça ne venait pas de lui…. bah dit toi deux chose : la première c’est que ce n’était pas lui (lol), et la deuxième c’est que même lui tu l’as traumatisé ! ».
À ses mots, James Wong se mit en PLS sur le bas-côté, et ne bougea plus. »
Voilà les enfants, vous comprenez maintenant pourquoi il y’a plus de suc*des dans le monde. Allez vous coucher maintenant, il est tard. Et mamie dois écrire une autre histoire pour vous.
Ciao