Critique de Dyketactics par Flip_per
Première partie singulière où la surimpression superpose deux actions montées. Mise en abime d'une certaine manière puisque l'un des niveaux visuel cadre plutôt des individus, ou la cinéaste...
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le 6 mars 2024
Petit film lesbien, où la préférence affirmée pour les corps de femmes s'accompagnent de celle pour les lumières tangentes du soleil, que le super 8 (ou 16 ?) captent à merveille. Le début utilise les surimpressions, les images se "surtouchent", se fondent. Cela dure 4 minutes et la sensualité et l'entente réciproques restent au cœur-moteur et à la peau-pellicule du film. C'est un propos qui pourrait valoir toutes les revendications, mais qui en fait surtout un film lumineux.
Créée
le 25 oct. 2015
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Première partie singulière où la surimpression superpose deux actions montées. Mise en abime d'une certaine manière puisque l'un des niveaux visuel cadre plutôt des individus, ou la cinéaste...
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le 6 mars 2024
Je suis un peu partagé sur ce film à cause d'un défaut majeur, la musique est juste insupportable (et il est trop court). On a les mêmes quelques notes assez fortes qui reviennent en boucle et qui me...
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le 17 janv. 2018
Tout est esclave de l'information à donner et il semble que le cinéma ne soit pour Kurosawa que de l'information à donner ! Mais le pire n'est pas que tout soit assujetti à cette tâche triviale, mais...
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le 28 févr. 2016
12 j'aime
4
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
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le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
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le 2 oct. 2015
11 j'aime