7
Le Fletch de Los Angeles
Fletch est le genre de journaliste qui aime bien fouiner, travailler son sujet, poser les bonnes questions. Alors qu’il se mêle depuis quelques temps à la faune d’un bord de mer pour découvrir...
le 29 déc. 2019
7 j'aime
Il fait Fletch de tout bois
Fletch est une sorte de sous Flic de Beverly Hills (je sais ça donne envie), faut juste changer Eddy Murphy par Chevy Chase (cf Tres Amigos de John Landis, je sais ça donne envie).
Ah oui et autre différence tout de même, le protagoniste est un journaliste et non d'un flic (enfin, on s'en cogne un peu, c'est pas comme s'il y avait une vraie histoire). Sinon c'est le même synthé en fond sonore.
Et oui, du bon gros film eighties qui tache (yep ça donne envie).
Le gag, c'est que j'ai cru pendant toute la projo que le film datait de 1995 (j'avais mal lu la jacquette), et je pigeais pas comment on pouvait faire un film aussi années 80 avec dix ans de retard !
Le film est plutôt drôle (quelques grands gags, Torpenn as-tu une liste de toucher rectal ?), surtout grâce à l'acteur principal, qui est pourtant handicapé par son physique grasouillou-loucheur (mais qu'il est laid).
Par contre, les crypto-scènes d'action sont horribles. Mais du coup, on se marre plus qu'autre chose.
PS : A noter, les participations de Kareem Abdul-Jabbar (très Lakers comme film) et de John Hoynes de The West Wing.
Ah oui et autre différence tout de même, le protagoniste est un journaliste et non d'un flic (enfin, on s'en cogne un peu, c'est pas comme s'il y avait une vraie histoire). Sinon c'est le même synthé en fond sonore.
Et oui, du bon gros film eighties qui tache (yep ça donne envie).
Le gag, c'est que j'ai cru pendant toute la projo que le film datait de 1995 (j'avais mal lu la jacquette), et je pigeais pas comment on pouvait faire un film aussi années 80 avec dix ans de retard !
Le film est plutôt drôle (quelques grands gags, Torpenn as-tu une liste de toucher rectal ?), surtout grâce à l'acteur principal, qui est pourtant handicapé par son physique grasouillou-loucheur (mais qu'il est laid).
Par contre, les crypto-scènes d'action sont horribles. Mais du coup, on se marre plus qu'autre chose.
PS : A noter, les participations de Kareem Abdul-Jabbar (très Lakers comme film) et de John Hoynes de The West Wing.
6
Écrit par
Créée
le 4 mars 2011
Critique lue 507 fois
9 j'aime
8 commentaires
D'autres avis sur Fletch aux trousses
7
Fletch, It's so Fletch !
Chevy Chase est, malheureusement, un acteur peu connu chez nous et c'est bien dommage ! Ce comédien a quand même été nominé deux fois pour les Golden Globes, ce qui n'est pas négligeable. C'est avec...
Par
le 16 janv. 2018
5 j'aime
1
5
Cher Fletch
Seule chose regardable dans ce Fletch? Chevy Chase (le Pierce de Community) jeune, sorte de Will Ferrell du précambrien. Même humour con de l'école SNL, même démarche. Même goût pour le transformisme...
Par
le 30 mai 2011
5 j'aime
13
Du même critique
5
Amour chaînes
En se concentrant purement sur une exégèse westernienne du film, on va dire qu'il y a trois inspirations différentes. La première se place dans la tradition assez classique du western. On est au...
Par
le 22 janv. 2013
70 j'aime
8
9
C'est bath Mann
Un Anthony Mann avec James Stewart, rien de plus classique. Sauf que le personnage principal est une winchester 73. Carabine à 15 coups, surnommée "the gun that won the west », elle attire à elle...
Par
le 26 janv. 2011
51 j'aime
15
8
Les moissons du fiel
City Girl démontre par le sublime que les bouseux sont des dégénérés. Alors oui, c'est pas un scoop, mais c'est toujours bien de rappeler quelques vérités dans ce bas monde. Lecture toute subjective...
Par
le 11 déc. 2010
48 j'aime
20
