Donc, nous avons un autre film avec un barbu qui crache sur le méchant Shôgunat. #Agrougrou
Le clan mis en scène n'a apparemment que ça à faire que de se réunir pour écouter des mendiants toute la journée.
Yazaki qui marche dans une ruelle : "La la la, je marche dans une ruelle insouciamment"
En effet, ce film a une histoire bien ficelée. Ca m'a rappelé Rashômon, mais cela n'avait pas l'intensité de Rashômon. Quoique, le début de Harakiri est vraiment sympa, on rit beaucoup. Enfin, si on est un peu sadique quoi, et c'est mon cas. Mais ensuite, on découvre que notre merveilleux barbu, en plus d'être un père admirable, un valeureux guerrier, un homme d'honneur et de parole, est en plus astucieux, courageux, philosophe, humble et vaillant.
Et bien entendu, en face on a un homme de pouvoir, cruel et sournois, à cheval sur le protocole quand ça l'arrange, mais qui se cache quand les choses tournent mal etc.
Bref, c'est trop manichéen, et en cela incomparable avec Rashômon.
La mise en scène est formidable, mais l'histoire ne comporte pas de message, autre qu'une énième critique du Bakufu, on a compris, vive l'empereur, dehors les américains. On a compris 1962, tu radotes !