"Le film le plus drôle du cinéma", ce genre d'accroches fait sourire, et le film beaucoup moins. Surtout comparé à n'importe quel Marx Brothers... L'intro annonçait un joyeux foutoir burlesque (à la Forbidden Zone, qui doit beaucoup puiser son inspiration de cette intro) mais ça retombe vite. Et malgré le ton rigolard et inspiré, l'ensemble n'est pas spécialement drôle (à notre époque de blasés en tout cas). On sent cependant que ZAZ et compagnie doivent tout ou presque à Hellzapoppin.
BaNDiNi
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les films foutraques

Créée

le 10 mars 2011

Critique lue 515 fois

4 j'aime

1 commentaire

BaNDiNi

Écrit par

Critique lue 515 fois

4
1

D'autres avis sur Hellzapoppin

Hellzapoppin
Citizen-Ced
8

Hellzapiness therapoppy

Top 5 des raisons de voir Hellzapoppin : 5. Parce que c'est un méta-film avant l'heure : les acteurs interpellent le spectateur, le projectionniste influe sur le film, et le "quatrième mur" vole en...

le 16 sept. 2014

17 j'aime

1

Hellzapoppin
TheBadBreaker
10

Vainqueur par chaos

Dans un cinéma, un projectionniste prépare laborieusement la bobine du film auquel nous allons assister. Seulement, il remarque être acteur, puisque nous sommes en train de le voir sur notre écran...

le 22 avr. 2021

13 j'aime

5

Hellzapoppin
Plume231
7

"Toute ressemblance entre Hellzapoppin' et un film est une pure coïncidence." !!!

Lorsque au début du film le message "Toute ressemblance entre Hellzapoppin' et un film est une pure coïncidence." s'affiche, la couleur est déjà annoncée... Allez à ce point dans le non-sens le plus...

le 18 avr. 2014

10 j'aime

2

Du même critique

Sucker Punch
BaNDiNi
7

Le burlesque fétichisme d'un si joli feu d'artifice.

Sucker Punch, ou le cinéma feu d'artifice : émerveillé par l'explosion et le bruit des couleurs, la retombée des émotions se fait dans l'ombre alors que les yeux gourmands attendent déjà le prochain...

le 5 avr. 2011

24 j'aime

1

Lady Snowblood
BaNDiNi
8

La version féminine de Baby Cart.

Tiré d'un manga du même auteur, Kazuo Koike, Shurayuki Hime m'a littéralement défoncé l'entendement et mes yeux en ont bavé de joie. Film infernal racontant une des plus machiavéliques histoires de...

le 15 mars 2011

22 j'aime