Il faut le reconnaitre, c’est un bon film, censé et juste. Logique aussi, que ce soit dans le scénario et les questions qui peuvent s’être posé pendant ou après le visionnage. Mais rester accroché tout le long du film fut difficile pour moi, si bien que je n’ai fait que regarder constamment mon téléphone ou passer d’une scène à une autre scène.
Cela ne viens pas du jeu d’acteur de Joaquim Pheonix, que je trouve bon, très bon, en parfaite symbiose avec son personnage. Mais pas incroyable. En réalité cela viens de la lenteur du film, voulu (je crois). En le regardant il y a une sensation de contemplation, dans les décors et la rythmique du film, bien trop lente pour moi. 2h00.
L’histoire bien qu’elle soit intéressante par son aspect psychologique entre cet amour qui semble dès le début impossible, reste beaux à regarder mais sur deux heures, le film prend trop de rallonge. Certaines scènes sont étirée pour étaler les sentiments de Theodore et montrer toutes leurs complexités, bien plus ceux de Samantha (entre nous je n’aime pas son prénom mais on s’en fou). Une chose bien si seulement le film ne serait pas aussi long. D’un autre côté cela aurait voulu dire, retirer des scènes du film. Et de ce que j’ai vu, toutes on une signification importante qui montre toute la complexité (je radote) du film.
Donc non ce n’ai pas un mauvais film, bien au contraire. D’une certaine manière j’aime la psychologie du film, surtout celle de Théodore. J’aime la colorimétrie et l’aspect science-fiction proche (plus ou mois) de nous. Beaucoup de chose sont bien dans ce film mais, oui je vais me répéter, la rythmique est le gros point noir du film.